Art et Histoire du Pays de Châtres
 

 

 

 

 

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Historique

La Société Civile d’Agriculture et de Plantation
de La Bretonnière

M. FOURQUEZ habitait le Val de Loire pendant la seconde guerre mondiale. À la disparition de la « zone libre » en 1942 il est parti au Maroc pour travailler dans l’agriculture.

La SCAP est créée au début des années 50 par monsieur FOURQUEZ originaire du Maroc où il possédait une grosse plantation d’arbres fruitiers. Aidé de trois amis, il vient s’installer à La Norville. La SCAP était donc composée de quatre associés. Le verger ainsi créé, sur une surface de 110 ha, se situait sur le territoire de Saint-Germain-lès Arpajon et de La Norville, face à la zone d’activités de La Bretonnière. Il était constitué de pommiers et de poiriers.
Les bureaux de l’entreprise ainsi que les locaux d’hébergement des ouvriers et de stockage des machines et du matériel se trouvaient à La Norville dans une ferme située rue Victor Hugo près de l’église. À l’origine c’était la ferme dépendant du Château de La Norville. M. FOURQUEZ y avait son habitation.

La nappe phréatique étant peu profonde, il fallut rapidement envisager de drainer le terrain. Monsieur TRUDING qui avait une formation de conducteur de travaux dans le B.T.P. et avait travaillé dans une entreprise spécialisée dans ce domaine a été embauché début 1960 pour réaliser le drainage de l’exploitation.
Quelques années plus tard, un bassin d’un hectare, sur une profondeur de 6 m, encore visible aujourd’hui, fut créé pour l’irrigation à l’endroit où la nappe phréatique affleurait à un mètre de profondeur. Au total ce sont 25 km de drains qui furent installés. Les allées du verger représentaient une longueur totale de 240 km. Plusieurs collecteurs furent créés pour recevoir les eaux.


Monsieur TRUDING fut chargé par la suite des travaux de construction de la station fruitière de l’autre côté de la rue des Cochets. Six maçons italiens ont été recrutés pour construire le bâtiment. Les travaux ont commencé en 1962 et se sont terminés en 1968.


Les fruits pour être bien conservés doivent être entreposés à une température entre 2 et 3°. Six chambres froides ont d’abord été construites avec à l’étage des niches pour les compresseurs, une petite mare servait à faire refroidir les compresseurs, quatre autres chambres furent ajoutées. Puis furent construits la salle de travail, la salle des expéditions et le bâtiment administratif.
Deux pavillons actuellement détruits furent construits à côté du bâtiment pour loger des ouvriers.
D’autres habitations avaient été construites sur le territoire de La Norville, au lieu dit « le Roussillon » (entre la piscine et l’actuelle Rue Paul Langevin) dotées d’un confort assez rudimentaire et connues à tort sur l’appellation des baraquements, pour l’hébergement des salariés de la SCAP. Ces habitations ont été détruites et les familles du personnel de la SCAP qui les occupaient ont été relogées, d’abord à La Norville puis Chemin de Guibeville à Saint-Germain-lès-Arpajon dans le courant des années 1980. Dans cette rue, un ensemble de vingt pavillons a été construit dont douze étaient réservés pour le personnel de la SCAP.


LA PRODUCTION


Sur une superficie de 110 ha s’étendait une plantation de 85 000 arbres fruitiers ainsi composés : environ 60 000 pommiers et 25 000 poiriers.
Cinq variétés de pommes : Golden – Red Delicous – Richard Red– Cox’s Orange - Melrose
Trois variétés de poires : Passe crassane – Beurré Hardy – Williams
Très tôt, sur une partie du verger, on pratiqua l’éclaircissage chimique des pommes par pulvérisation, le reste continuant à bénéficier d’un éclaircissage manuel.
L'objectif de l'éclaircissage est de réduire les bouquets floraux à une seule fleur (idéalement le fruit central du bouquet) et d'espacer convenablement les fruits tous les deux dards fructifères. Plus l'éclaircissage se fait tôt après la floraison, meilleures sont les chances d'obtenir une augmentation du calibre moyen des fruits et de maximiser la floraison l'année suivante.
La cueillette avait lieu à partir de septembre, cent cinquante ouvriers saisonniers étaient alors accueillis, ils étaient Espagnols, Marocains ou Portugais. La récolte était destinée à quelques gros clients qui eux-mêmes redistribuaient dans les grandes surfaces. La vente aux particuliers était assurée sur place et aussi par le passage d’une camionnette dans les villes environnantes. Les fruits non vendus étaient stockés dans les chambres froides. Monsieur François STROZICK, Chef de culture, supervisait l’entretien de toute l’exploitation.

Il n’existe que peu de documents relatifs à l’activité de cette entreprise dans les archives municipales de Saint-Germain-lès-Arpajon. Deux ont cependant été recensés. Le premier, une lettre datée de mai 1981, rédigée par le maire de Saint-Germain au sujet d’une calamité agricole et adressée au Directeur Départemental des services fiscaux dans laquelle il fait savoir que l’exploitation d’arboriculture , la SCAP, située aux Cochets, a subi des dégâts importants, de l’ordre de 30 à 80%, causés par le gel dans la nuit du 27 au 28 avril 1981, sur les surfaces de 40 ha 13 a 75 ca de pommiers et de 12 ha 60a 66a 50 ca de poiriers, cadastrées. Section B n°s 450 -451 – 452 – 456.
Il a été demandé au sous-préfet de Palaiseau de bien vouloir saisir le Comité Départemental d’Expertise afin que soit déclarée comme « zone sinistrée » l’exploitation de la SCAP, et solliciter l’intervention du Fonds National de Garantie des Calamités Agricoles. De plus, il était demandé qu’une exonération des impositions pour l’année 1981.
Le deuxième document est un bordereau récapitulatif des déclarations en vue de l’attribution d’essence détaxée pour les travaux agricoles pour l’année 1983.
On y apprend que la superficie totale de l’exploitation est de 141 ha 30 ; soit sur la commune de Saint-Germain-lès-Arpajon 75 ha 48 a et sur la commune de La Norville 65 ha 82. Il est mentionné que la moitié est en vergers ordinaires et l’autre moitié en autres terres de culture.
M. Fourquez déclare posséder pour l’entreprise neuf tracteurs plus une motopompe Bernard et pour l’irrigation des moteurs mobiles Deutz.
Après le décès de M. FOURQUEZ et d’un de ses associés, il ne se trouva aucun repreneur pour continuer cette entreprise. Seul le propriétaire de la ferme des Cochets continua pendant un temps à entretenir le verger.

TEMOIGNAGE DE M. ELOMARI


Un jour d'octobre 1972, un départ vers une destination inconnue, la tête pleine de rêves …

Les besoins énormes des entreprises françaises en main-d’œuvre non qualifiée vont transformer ma vie. Suite à l’accord conclu par l’État français avec le Royaume marocain, des agents recruteurs sont venus me chercher dans ma campagne profonde à 25 km de la capitale marocaine. Et me voilà parti, avec plusieurs de mes compatriotes vers une aventure inédite, avec la nette sensation de prendre la bonne décision pour ma famille et moi-même. J’aimerais leur offrir les meilleures conditions de vie. Je pars seul, dans l’espoir de revenir rapidement. Nous sommes en 1972, le contrat que je viens de signer est d’une durée de 6 mois, le salaire proposé est dix fois supérieur au salaire moyen au Maroc. Je suis confiant !


Mais après un long trajet en bus je découvre les conditions de logement et de travail :
- Le logement est très sommaire, mais suffisant ; nous sommes tous logés dans un foyer constitué de cabanons implantés dans les anciennes écuries de la ferme(le sol est en dur) proche du château de La Norville, et nous sommes deux ou trois dans chaque chambre qui fait environ 8m². Nous devons utiliser un réchaud dans la chambre pour nous chauffer et pour cuisiner. La solidarité marocaine est très présente et nous nous soutenons tous les uns les autres. Le loyer est directement prélevé sur notre salaire dont j’envoie la plus grosse partie à ma famille restée au pays.
- Le travail quant à lui est très pénible ; je travaille tous les jours, et parfois même le samedi et la nuit si nécessaire, en période de forte activité, dans le domaine agricole de la SCAP qui s’étend sur le territoire des communes de La Norville et de Saint-Germain-lès-Arpajon sous la direction de M. FOURQUEZ. Le travail qui m’incombe est la plantation, l’élagage et la récolte des pommes pour 90% environ et des poires. En pleine saison, nous nous chargeons de la cueillette, de la mise en caisses en fonction des variétés. Les contremaîtres viennent les chercher en camion pour les livrer aux entrepôts de stockage. Le travail est peu féminisé, il n’y a qu’une dizaine de femmes chargées de la qualité. Nous ne parlons pas français, et la communication est parfois difficile, les anciens immigrés traduisant aux derniers arrivés ; la gestuelle est très présente. Mon expérience de paysan au Maroc m’a permis d’assimiler rapidement les techniques de la taille des arbres.
Les six mois passent, et me voilà de retour au Maroc auprès de mes proches.


En 1975, je reviens en France pour une durée plus longue, mais là je sais que je peux faire venir ma famille et mon employeur me propose une maison en face de la piscine de La Norville destinée aux familles des salariés travaillant sur la plantation (un salon, trois chambres, une cuisine et une salle de bains). Je monte un dossier de regroupement familial pour obtenir les autorisations nécessaires. Elle m’est accordée. J’économise et achète une voiture d’occasion pour aller chercher ma femme et mes six enfants. Le trajet de retour me paraît être une éternité, quatre longs jours, plus de 3000 km parcourus. Mon plus jeune enfant est âgé d’à peine un an, mais nous prenons notre mal en patience. Nous arrivons en juin 1977 et mon premier souci est d’inscrire mes enfants à l’école pour la rentrée de septembre. Le loyer est toujours directement prélevé sur ma paie et les fins de mois sont dures avec mon maigre salaire d’ouvrier agricole. L’intégration est difficile, mais la population locale est accueillante et surtout facilite l’intégration de mes enfants grâce à une aide scolaire et des dons de vêtements. Je retrouve le même poste que par le passé. Cependant je m’occupe désormais des machines et les conduis. J’ai un souvenir bien précis : celui de la livraison, une fois par an, des cageots de pommes à l’école primaire de La Norville. Un cageot pour chaque classe, et à la sortie de l’école, chaque élève avait droit à une pomme.
Les hivers sont particulièrement rudes, la maison n’est pas équipée de chauffage central ; je réussis à me procurer un petit chauffage au gaz pour réchauffer ma famille. Le plus dur c’est le travail à l’extérieur car nous ne sommes pas correctement vêtus ni équipés. Pour travailler nous n’étions dotés que d’un bleu qui était remplacé tous les deux ans, et nous multiplions les couches de vêtements pour tenter désespérément de ne pas geler sur place.
En 1984/1985, la SCAP vend une partie de ses terrains à une agence immobilière qui nous promet de nous reloger. Ainsi, elle fait construire un ensemble de douze pavillons Chemin de Guibeville à Saint-Germain-lès-Arpajon. Deux d’entre-elles sont achetées par les contremaîtres. Nous n’avons pas les moyens d’avoir un apport pour un achat éventuel, alors nous signons un contrat de location sans savoir que dans les mois qui allaient suivre, nous allions tous faire l’objet d’un licenciement, puisque tous les terrains ont alors été vendus.
C’était le début d’une autre vie.

RENCONTRE AVEC M. ROLAND GRENIER


M. GRENIER est entré à la SCAP en 1983 et y a travaillé en qualité de contremaître jusqu’à la fermeture de l’entreprise en 1986-1987.
Il a d’abord été logé dans les maisons construites par M. FOURQUEZ pour le personnel de la SCAP au lieu-dit « Parc du Roussillon » à La Norville (actuellement rues Paul Langevin et Pierre Mendès-France). Les habitations étaient en dur, sur sous-sol en pierre et possédaient l’eau, l’électricité et un chauffage par poêle à mazout ou un chauffage au gaz. (La maison de M. Grenier était à l’emplacement de l’actuel restaurant « La Ciboulette »)


Elles ont été détruites dans les années 1980 pour faire place à un lotissement d’une soixantaine de pavillons et à des commerces.

En novembre 1983 M. GRENIER a déménagé pour s’installer Chemin de Guibeville où les pavillons ont été construits dans une partie des vergers dont quelques traces subsistent encore.
Les pommes étaient expédiées par camions ou par wagons grâce à un embranchement SNCF et une partie était exportée essentiellement en Grande-Bretagne, en Allemagne et aussi en Finlande. Elles étaient conservées jusqu’en juillet de l’année suivante et mûrissaient en atmosphère contrôlée laquelle nécessitait de sévères conditions d’accès aux chambres.


Tâches effectuées par M. GRENIER


Taille d’hiver : Un ouvrier payé au SMIC devait tailler 50 arbres par jour. Au delà il était payé 1 franc de l’arbre.
Comptage et calibrage des pommes.
Il fallait chaque année supprimer la moitié des fruits que portait un pommier pour passer de 800 à 400 pommes par arbre. Cette opération s’effectuait en partie manuellement. Il fallait également chaque semaine procéder à un calibrage des pommes afin de contrôler leur grosseur et leur croissance.
Arrosage des vergers
En période de sécheresse un système de tuyaux distribuait de l’eau puisée dans la mare pour arroser les pommiers. Cet arrosage s’effectuait de nuit à l’aide de pompes. Dans les dernières années l’arrosage s’effectuait au « goutte à goutte ».
Cueillette des fruits et contrôle de qualité
La cueillette des fruits s’étalait de septembre à la mi-novembre. Elle faisait appel à une main-d’œuvre importante - jusqu’à 200 personnes à la fin de l’exploitation - qui étaient logées à la Ferme FOUQUEZ Rue Victor Hugo à La Norville. D’abord ce furent des ouvriers portugais, puis espagnols (avec beaucoup de repris de justice pour petits délits) et enfin marocains. Une équipe de cueilleurs était constituée de quatre personnes, deux de chaque côté des palox, (caisse de très grande talle utilisée en agriculture) l’une cueillant le bas de l’arbre, l’autre le haut à l’aide d’un escabeau. Chaque palox plein, d’une hauteur de 80cm, pesait 350 kg. La cueillette demandait dextérité et vitesse mais aussi précision et douceur des gestes pour détacher le fruit et le déposer dans le palox. Une excellente équipe de cueilleurs pouvait remplir 22 palox par jour, soit 7,7 tonnes de fruits. Un contrôle était effectué par sondage concernant la qualité (chocs, présence du pédoncule) qui pourrait nuire à la conservation. Le travail était rémunéré à la tâche avec une pénalisation en fonction des défauts de qualité détectés.

 

 


RENCONTRE AVEC M. STEPHANE VAN DER LINDEN


M. Stéphane VAN DER LINDEN est arrivé à La Norville en 1963. Il a d’abord travaillé aux vergers pendant deux ans. À son retour de l’Armée il a participé à la construction des dernières chambres de stockage, puis pendant plus de vingt ans il a travaillé à la « Station fruitière » à la surveillance des chambres frigorifiques. Il a travaillé ensuite quelque temps aux Studios d’Arpajon après la disparition de la SCAP.
Il y avait 8 chambres de stockage d’une capacité théorique de 1000 tonnes de pommes chacune (La production maximum des vergers était de l’ordre de 6000 tonnes par an).
Les deux premières chambres avaient été rendues étanches grâce à un enduit au goudron dont l’application dans un environnement clos était particulièrement pénible. Les suivantes ont été traitées avec des toiles de PVC.
À l’origine ces chambres étaient simplement réfrigérées à une température maintenue à environ 2° en atmosphère ordinaire. À partir de 1966/1967 elles ont été modifiées pour contenir une atmosphère désoxygénée avec un taux d’oxygène de 4% (alors qu’il est de 21% dans l’air respirable) et un taux de gaz carbonique de 4%, le reste étant de l’azote. Pendant toute la durée de leur conservation les fruits mûrissent lentement en dégageant du gaz carbonique. Il était donc nécessaire de surveiller constamment l’atmosphère des chambres afin d’extraire l’excédant de gaz carbonique.
Pénétrer dans les chambres pour mesurer le mûrissement nécessitait d’utiliser des respirateurs à l’image des plongeurs sous-marins. Ce sont d’ailleurs des techniciens de la société « La Spirotechnique » qui sont intervenus pour la mise au point des détendeurs issus de l’invention du Commandant COUSTEAU.


 

 

ZONE PAVILLONNAIRE CHEMIN DE GUIBEVILLE


Le 6 novembre 1980, Raymond Fourquez, agissant en qualité Président Directeur Général de la SCAP autorise la Société Lacroix-Wasover dont le siège social est à Paris 16e, 3 rue Erlanger, à déposer un permis de construire pour douze maisons sur un terrain lui appartenant, à Saint-Germain-lès-Arpajon, chemin de Guibeville.
Le terrain en question a une superficie de 7900m2. Douze maisons, individuelles ou jumelées, de quatre types différents, y seront construites.
Le 17 novembre de la même année, la demande de permis de construire est déposée en préfecture. Un mois plus tard, le conseil municipal de Saint-Germain–lès-Arpajon délibère à propos de cette demande :
Monsieur le maire expose que la Société Civile d’Agriculture et de Plantations projette de réaliser pour le logement de ses employés une première tranche de 12 pavillons sur un ensemble de 20 constructions, sur un terrain lui appartenant, sis chemin rural de Guibeville, cadastré section D n°452.
Le conseil considérant :
- Que la réalisation de l’immeuble immobilier projeté par la Société Civile d’Agriculture et de Plantation n’est pas susceptible de compromettre ou de rendre plus onéreuse l’exécution des travaux publics.
-Que ni l’importance, ni la situation, ni l’affectation des constructions ne peuvent contrarier l’action d’aménagement du territoire communal et son urbanisme
-Qu’il s’agit de construction de logements destinés à l’habitation du personnel de l’exploitation agricole
-Vu la délibération de ce jour portant sur la participation forfaitaire représentative de la taxe locale d’équipement à verser par la SCAP demande que les terrains d’assiette de construction de 20 pavillons présentés par la SCAP sur sa propriété cadastrée section D n° 452 soient inclus dans un secteur U au sud du lieu-dit La Bretonnière, à l’ouest de la zone de non aedificandi formant emprise d’une future voie de part et d’autre du chemin n°51 de Guibeville.
L’arrêté préfectoral autorisant le permis de construire est daté du 2 mars 1981. L’article six de cet arrêté stipulait que les constructions autorisées devaient être réservées aux locataires des bâtiments existants sur les terrains situés rue Paul Langevin à La Norville destinés à être démolis.
Peu de temps après, M. Fourquez transfère le permis de construire délivré à la SCAP au profit de la SCI LA BRETONNIÈRE. En août 1982, une convention est signée entre la commune de Saint-Germain et la SCI LA BRETONNIÈRE représentée par la Société LACROIX-WASOVER.

En 1987 les studios de cinéma ont remplacé le hangar à pommes. La SCAP a fermé ses portes et laissé place aux « Studios d’Arpajon », bien que se trouvant sur le territoire de Saint-Germain-lès-Arpajon.
Mais ça, c’est une autre histoire qui elle-aussi vient de se terminer en cette année 2012.

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